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Vous pouvez rencontrer les communistes du 5e arrondissement tous les week-end sur vos marchés. Ils y vendent l'Humanité Dimanche, y distribuent le 5e.communiste (leur journal) et  bavardent volontiers avec les passants.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 01:20

L'hôpital public à Paris : pour le droit à la santé de tous les Parisiens


La décision de la fermeture des urgences de l'Hôtel Dieu qui accueillent plus de 40.000 patients par an a été prise sans concertation avec les élu-es, les habitants et les personnels. Cette décision unilatérale de la direction générale de l'AP-HP guidée par les seuls intérêts financiers est un coup de poignard contre les Parisiens et le droit à la santé.


La saturation des hôpitaux parisiens, les Parisiens peuvent la constater tous les jours, quand il est désormais impossible d’obtenir un rendez-vous dans les meilleurs délais pour une consultation, quand les patients doivent attendre plusieurs heures dans des services d'urgence. Cette fermeture ne viendrait donc qu’amplifier les inégalités de santé à Paris pour les 9 premiers arrondissements notamment et est une menace pour la santé publique car les autres hôpitaux parisiens ne pourront pas absorber le flux de patients.

Les syndicats mobilisés, le comité de soutien et les élus et militants du PCF et du Front de Gauche mobilisés travaillent à la construction d’une alternative permettant d’assurer une offre de soins publics de qualité au cœur de Paris : service d’urgence, lits d’hospitalisation, plateau technique,ophtalmologie.

 

Contrairement à la volonté de Jean-Marie Le Guen, adjoint au Maire de Paris en charge de la Santé, Anne Hidalgo, Première adjointe au Maire de Paris, et candidate à la mairie de Paris pour les prochaines élections municipales a affirmé souhaiter bloquer le processus actuel de l'Hôtel Dieu et refuser de modifier le PLU. Les élu-es du Front de Gauche veilleront à ce que cet engagement soit respecté.

Nous saluons la décision de démettre Mireille Faugere de son poste de Directrice Générale de l’AP-HP qui s'est obstinée à déménager l'Hotel Dieu depuis sa nomination en 2010. La nomination de Martin Hirsch à sa place est une victoire pour tout ceux qui se battent pour l'Hôtel Dieu depuis 5 ans.

 

 

Le PCF appelle à la manifestation devant le Ministère de la Santé (Avenue Duquesne) le 19 novembre et à participer au comité de soutien de l’Hôtel Dieu et aux initiatives prises pour sauver l’hôpital.  
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11 octobre 2013 5 11 /10 /octobre /2013 23:56

Le Front de Gauche 5ème vous invite à une

Assemblée citoyenne

« Pour une autre réforme des retraites »
Pourquoi la réforme du gouvernement est inefficace, injuste et dangereuse?

Quelle réforme alternative de progrès social ?

Comment la mettre en chantier ?

Mercredi 16 octobre, 19h30 (salle Henri Cartan)

ENS, 45 rue D’Ulm, 75005, Paris

Avec Pierre Khalfa (Fondation Copernic)

et Catherine Mills (animatrice de l'atelier "retraite" aux estivales du FDG)

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8 octobre 2013 2 08 /10 /octobre /2013 00:35

Meeting unitaire "Ensemble défendons nos retraites" 

Mercredi 9 octobre à 19h30  

Gymnase Japy (2 rue Japy, Paris 11eme, Métro Charonne).

Avec: Pierre Khalfa (Copernic), Verveine Angeli (ATTAC), Annick Coupé (Solidaires), Anne Féray ( FSU), Denis Durand (Fédération Finances CGT), Fatima-Ezzahra Ben-Omar (Collectif féministe), Gérard Filoche (PS), Pierre Laurent (PCF), Danièle Simonnet (PG), Olivier Besancenot (NPA), Clémentine Autain (Trait d'union FDG), Christian Picquet (GU), EELV, Collectif Jeunes... 

Rassemblements et manifestation :

Les organisations syndicales CGT, FO, FSU et SOLIDAIRES d’Île-de-France appellent :

-A un rassemblement interprofessionnel ponctué par une conférence de presse le Jeudi 10 octobre à partir de 12h30 devant le Ministère du Travail (métro Varenne)

-A une journée de mobilisation avec un rassemblement et une manifestation régionale le mardi 15 octobre à 12h30 au départ de St Augustin à l’appel de la CGT, FSU et SOLIDAIRES pour rejoindre le rassemblement unitaire, initié par FO, sur le Pont de la Concorde – face à l’Assemblée Nationale.

 

 

 

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 01:30

Alors qu'il était de bon ton dans les grands médias de pronostiquer l'échec, plus de 360 000 personnes ont manifesté début septembre contre le projet gouvernemental de réforme des retraites. Le point avec le député PCF André Chassaigne.

Que dire du dossier retraites au lendemain de la journée du 10 septembre ?

La mobilisation du 10 septembre est la manifestation concrète de l'opposition d'une majorité écrasante de nos concitoyens au projet de réforme des retraites du gouvernement, qui ne diffère ni dans la forme ni dans le fond des réformes de la droite.

Le calendrier a été choisi pour éviter toute forme de débat national et étouffer dans l'oeuf toute velléité de contestation : concertation avec les organisations syndicales pendant la période estivale, présentation du projet de loi en Conseil des ministres courant septembre pour une discussion à l'Assemblée début octobre. Mais les Français, qu'ils soient retraités, actifs, chômeurs ou étudiants, ne sont pas dupes : ce projet de réforme est socialement injuste et économiquement aberrant. L'enjeu désormais pour les communistes, comme pour l'ensemble du Front de gauche, est d'amplifier cette mobilisation, de porter sur tous les fronts des revendications et les propositions du PCF et du Front de gauche : la retraite à 60 ans, le calcul de la pension sur les dix meilleures années d'exercice professionnel, une véritable réforme du financement de notre système de retraite permettant d'assujettir les revenus financiers et d'inciter les entreprises à privilégier l'emploi au détriment de la rémunération du capital, la résorption intégrale des inégalités professionnelles entres femmes et hommes, l'exigence qu'aucune pension ne puisse être inférieure au SMIC.

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27 septembre 2013 5 27 /09 /septembre /2013 22:42

Il est stupéfiant que la décision de la fermeture des urgences de l'Hôtel Dieu qui accueillent plus de 40.000 patients par an ait été prise sans la moindre concertation avec les élu-es, les habitants et les personnels qui se mobilisent depuis des mois pour sauver cet hôpital au centre de Paris. Cette décision unilatérale de la direction générale de l'AP-HP guidée par les seuls intérêts financiers est un coup de poignard contre les Parisiens et le droit à la santé.

 

Hier soir comme tous les jeudis soirs à 18H30 s'est tenue une réunion du Comité de soutien à l’Hôtel Dieu :

 - Le rendez vous prévu mercredi 25 avec le chef de cabinet de la ministre n'a pas eu lieu sous prétexte que la délégation de la CGT comportait des élus municipaux.
Par contre les porteurs du projet d'hopital debout de l'APHP restent les interlocuteurs privilégiés de la ministre. La délégation a refusé de quitter le ministère sans qu'un nouveau rendez-vous soit fixé. Celui-ci est prévu à 17H le mardi 1er octobre. Le comité de soutien appelle à un rassemblement devant le ministère (14 Avenue Duquesne, métro École militaire) pour soutenir la délégation.
- Une délégation a été reçue ce jour par Anne Hidalgo. Elle s'est engagée à soutenir la demande de rendez vous au ministère et propose des états généraux de la santé à Paris.
- L'occupation continue dans le service de chirurgie thoracique salle Notre Dame et il est important que les camarades disponibles participent (matin, après midi ou nuit), la présence des sympathisants communistes est indispensable.

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16 juin 2013 7 16 /06 /juin /2013 19:30

Une autre politique à gauche est possible

Nous voulions le changement, nous avons eu l’austérité !

Nous voulions l’abrogation de la loi HPST, nous avons toujours Claude Evin et les ARS !

Nous voulions des hôpitaux 100 % publics de plein exercice et des centres de santé pour répondre aux besoins des populations, nous avons la fermeture des urgences à l’Hôtel Dieu, celle programmée d’A.Chenevier, de Saint-Antoine, de Bichat et Beaujon… ou la maternité des Lilas ou des Bluets…

Nous voulions le remboursement à 100% par la Sécurité sociale, nous avons l’aggravation des dépassements d’honoraires.

La politique d’austérité, adossée aux effets dramatiques de la loi HPST, déstructure l’offre publique hospitalière, détricote le tissu sanitaire et médico-social de proximité, aggrave le renoncement aux soins avec :

  • l’augmentation des forfaits et autres restes à charge, les franchises médicales, les déremboursements et les dépassements des honoraires médicaux

  • la dégradation des équipements et des conditions de travail

  • la casse des emplois.

Les solutions

Le niveau des richesses nationales et la nature des besoins à satisfaire sont sans commune mesure. L’argent existe pour réorienter les moyens nécessaires à la refondation d’un système de protection sociale universelle et solidaire. Une refonte du financement branchée sur le développement de l'emploi et des salaires est nécessaire :

  • 30 milliards d’exonérations des cotisations patronales, pesant de presque autant sur la dette de l’état

  • 1 milliard de non-déclaration des maladies et accidents liés au travail

  • 172 milliards de niches fiscales et sociales

  • 20 milliards de fraudes patronales…

  • 75 milliards avec la mise place d’une cotisation sociale sur les revenus financiers des entreprises.

  • Développement des cotisations sociales, notamment patronales avec modulation des taux de cotisations en fonction du développement de l'emploi et des salaires.

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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 00:46

L’hôpital public à Paris, pour le droit à la santé de tous les Parisiens


 

 

Il est stupéfiant que la décision de la fermeture des urgences de l'Hôtel Dieu qui accueillent plus de 40.000 patients par an ait été prise sans la moindre concertation avec les élu-es, les habitants et les personnels qui se mobilisent depuis des mois pour sauver cet hôpital au centre de Paris. Cette décision unilatérale de la direction générale de l'AP-HP guidée par les seuls intérêts financiers est un coup de poignard contre les Parisiens et le droit à la santé. Elle est le signe d’une accélération du processus de déstructuration de l’APHP et du projet de l’entrée du privé lucratif au sein du service public.

La fermeture des urgences et des lits, c’est la fin d’un hôpital alors que les heures d’attente aux urgences et les mois d’attente pour obtenir un rendez-vous trahissent la saturation des hôpitaux parisiens. Cette fermeture ne viendrait qu’amplifier les inégalités de santé à Paris. Elle est une menace pour la santé publique car les autres hôpitaux ne pourront pas absorber le flux de patients.


Le gouvernement Fillon a porté des coups importants au système de soins et de protection sociale. Avec le Gouvernement actuel, malgré les engagements du candidat Hollande, la situation ne s’améliore pas.


Mettons fin à l’étranglement budgétaire et financier de l’hôpital public en instituant un financement reposant sur un autre partage des richesses favorable aux travailleurs et non aux actionnaires.

A Paris, annulons toutes les restructurations d’hôpitaux publics. Ouvrons de nouvelles structures publiques de proximité, améliorons la situation de l'hôpital public et des personnels qui y travaillent. C'est pour cela que les élus Front de gauche ont refusé la fermeture des centres de santé menacés dans les arrondissements de Paris. Face aux besoins, un réel plan d'investissement public est indispensable, pour développer les services publics de santé, pour améliorer encore la qualité des soins.


Les syndicats mobilisés travaillent à la construction d’une alternative permettant d’assurer une offre de soins publics de qualité au coeur de Paris. Le PCF, au sein du Front de gauche, soutient l’appel initié par la CGT Santé-Action sociale pour un grand service public de santé et d’action sociale, pour un financement de la protection sociale et de la sécurité sociale à la hauteur des besoins et la manifestation nationale le 15 juin prochain.

 

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 05:19

Si l’hôpital public va si mal, à qui la faute ?

La tarification à l'activité (T2A) d'abord, en 2007, et la loi Bachelot (Hôpital, patients, santé et territoire), ensuite, en 2009 ont fait très mal à notre hôpital public.

Avec la T2A, les hôpitaux qui accueillaient les « malades trop malades », ceux qui acceptaient de faire les actes les « moins rentables » étaient pénalisés. De nombreux établissements publics sont passés dans le rouge. La concurrence déloyale des cliniques privées sera bientôt encore plus forte avec le crédit impôt compétitivité emploi (CICE). Dans ce contexte, la ministre a annoncé une nouvelle baisse des tarifs pour le secteur public : la Fédération Hospitalière Française (FHF) a prévenu : plusieurs dizaines de milliers d'emplois seront supprimés dans les hôpitaux.

hosto.jpgLa  loi Bachelot a imposé la gouvernance des Agences Régionales de Santé au service des politiques d'austérité et de la course à la rentabilité financière. Avec la domination des critères de gestion du privé c'est une privatisation rampante de la santé qui s'impose.  L'hôpital public doit devenir une « entreprise productrice de soin ». Les travailleurs des hôpitaux se sont farouchement opposés à ces dispositions de l'ère Sarkozy. Les concentrations – restructurations se sont multipliées depuis, sans considération pour les besoins réels des populations avec comme seul objectif de  limiter les dépenses publiques. C'est au nom de cette logique que les urgences de l'Hôtel- Dieu sont aujourd'hui menacées de fermeture. Les conséquences délétères de cette politique se ressentent au quotidien, et éclatent sporadiquement à la une des journaux, comme à la maternité de Port Royal le mois dernier.

Dans ce contexte, que propose aujourd'hui le rapport Couty, remis à la ministre le 4 mars 201 ?


Rapport Couty : des propositions dangereuses, inefficaces, qui ne permettront pas de sortir de la crise de l’hôpital public

Le rapport ne préconise que des amendements à la marge de la tarification à l'activité (en introduisant une dose forfaitaire) et des modifications cosmétiques de la gouvernance des hôpitaux.

Les simples aménagements des dispositifs existants proposés dans ce rapport ne sont pas à la hauteur des enjeux pour l’hôpital public ! La Ministre de la santé devrait prendre réellement en compte la gravité de la situation sur le terrain afin de donner enfin à l’hôpital public les moyens, tant financiers qu’organisationnels, pour répondre à ses missions. Cela exigerait  l’ouverture immédiate de négociations pour l’ensemble des professions de la santé et de l’action sociale. Cela  impliquerait  un financement à la hauteur des besoins ; l’hôpital public restant le seul à pouvoir garantir l’accès à la santé pour tous, à une époque où la population est particulièrement touchée par la crise.

 

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5 décembre 2012 3 05 /12 /décembre /2012 15:38

Les restos du Cœur ont ouvert leur 28e campagne d'hiver. L'énorme augmentation de l'affluence à ces repas interpelle : 130 millions de repas, pour environ 900000 personnes en 2011. La faim est un fléau qui frappe aussi en France !

L'Union Européenne prévoit de supprimer l'aide alimentaire, le PEAD, dont profite 18 millions d'européens, y compris 4 millions de français, en 2014. Le PCF relaie évidemment l'appel au secours des associations de solidarité (Restos du Cœur, Banques alimentaires, Croix Rouge Secours Populaire) : le budget européen doit renforcer et pérenniser cette aide alimentaire !

Les vrais causes le pauvreté en France ce sont les bas salaires et le chômage

Avec la crise, et les politiques d'austérité, on assiste à la paupérisation du salariat et à l'émergence d'un véritable « précariat » : un prolétariat précarisé qui tout en travaillant s'enfonce dans la pauvreté. Cette situation concerne un nombre croissant de famille, notamment de femmes seules avec enfant(s), de personnes âgées et de jeunes travailleurs.

 

Les propositions du PCF et du Front de gauche

Aucun revenu sous le seuil de pauvreté n'est acceptable: il faut augmenter les salaires, à commencer par le SMIC qui doit passer à 1700 €, les pensions et les indemnités de chômage. Les loyers doivent baisser : il faut un plan d'urgence pour le logement et contre la spéculation immobilière.

Pour lutter contre la précarité, à rebours de l'idéologie de la flexibilité, nous voulons créer un nouveau service public de l'emploi et de la formation avec affiliation universelle dès la fin de l'obligation scolaire ouvrant un véritable droit à l'emploi ou à la formation avec une sécurisation et une continuité du revenu.

Le CDI à plein temps doit être réaffirmé comme étant la norme du contrat de travail. Il faut un droit automatique au passage à temps plein pour les temps partiels. Les droits des salariés des entreprises sous-traitantes  doivent être alignés vers le haut sur ceux des donneurs d’ordre.

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26 octobre 2012 5 26 /10 /octobre /2012 09:40
Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale  pour 2013 : la Sécu au pain sec

  Ce budget de la Sécurité sociale s'inscrit dans une marche vers l'austérité. Le gouvernement socialiste n'a pas rompu avec la politique libérale, il y a en grande partie continuité avec la politique du gouvernement précédent. Mais l'austérité ça ne marche pas, cela va aggraver le chômage et donc priver la Sécu de ressources. Ce plan de financement de la Sécurité sociale n'apporte aucune réponse à la crise ; en la creusant il va creuser les déficits sociaux.

 De plus il repose sur des hypothèses économiques fausses pour 2013. L’objectif de croissance est par exemple surestimé. On prévoit 0,8% de croissance (au lieu de 0,3% selon de nombreux organismes de prévisions), ce qui va plomber les rentrées de cotisations d'au minimum 1 milliard d'euros en moins. L'objectif est en réalité de baisser le coût du travail en commençant par les cotisations sociales. On viserait pour commencer à reporter 40 milliards € sur les ménages, soit par la CSG, soit par une taxe écologique.

 

 Une seule vraie ambition : l'attente d'un consensus sur la réforme du financement de la Sécurité sociale avec le Haut conseil pour le financement de la Sécurité sociale. Une véritable réforme structurelle de suppression de cotisations patronales, au nom de la compétitivité, est programmée.

  

Au niveau  des dépenses : beaucoup d'inquiétudes

 Concernant les dépenses de santé et l'offre de soins. On organise l'asphyxie des dépenses de santé, notamment pour l'hôpital (2,7% pour 2013 au lieu des 3% prévus initialement), ce qui sera intenable. Cela va contraindre les hôpitaux  à s’endetter. Il n'y a rien sur la suppression de la tarification à l'activité qui  introduit les critères de gestion du privé à l'hôpital, ni de suppression des forfaits et franchises, ou d’allègement de la charge des patients. Il n'y a pas non plus de suppression des dépassements d'honoraires.

 

  Pour notre part nous  avançons  des  propositions  alternatives  précises pour le financement de la protection sociale largement reprises dans le programme du Front de gauche : L'humain d'abord.


 

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