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DEMANDEZ L'HUMA !
Vous pouvez rencontrer les communistes du 5e arrondissement tous les week-end sur vos marchés. Ils y vendent l'Humanité Dimanche, y distribuent le 5e.communiste (leur journal) et  bavardent volontiers avec les passants.

Nous sommes tous les samedis à partir de 11h aux marchés de Port-Royal et tous les dimanches à la même heure au marché de la place Monge.

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Parti communiste français

42, rue Mouffetard

75005 Paris

Tél. : 01 43 37 44 19

section.pcf5@gmail.com

17 janvier 2009 6 17 /01 /janvier /2009 11:20
Résistances syndicales, résistances politiques,
Comment faire converger les luttes ?



La manifestation intersyndicale du 29 janvier est annoncée comme un moment important des luttes sociales en cours. Salariés du publique et du privé, intérimaires, chômeurs et retraités sont appelés à se mobiliser ensemble. C’est un enjeu de taille. Le gouvernement évite soigneusement de faire le lien entre toutes les attaques qu’il mène contre les acquis sociaux. Il dépolitise à outrance le débat sur la crise en nous martelant « nous devrons tous nous serrer la ceinture ». Le PCF cherche à faire progresser l’idée que la contestation sociale pour obtenir de vraies avancés doit se cristalliser dans des combats transversaux.

Comment faire progresser l’idée de la convergence des luttes ?
Concrètement, quels intérêts communs entre les lycéens, les chercheurs, les travailleurs et les retraités ?
Comment tenir un discours de classe dans le contexte actuel ?

Café politique organisé par les communistes du 5e arrondissement.
Le 20 janvier 2009, 18H30, café le Val de Grâce. 137 boulevard Saint Michel Paris 5e.
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13 janvier 2009 2 13 /01 /janvier /2009 13:44


Nicolas Sarkozy nous a annoncé qu’en 2009 nous allons devoir encore serrer la ceinture d’un cran. Moins d’enseignants, plus de chômeurs, moins de cotisations patronales pour plus de bénéfices. Laissera t on le gouvernement casser les services publics, la santé, l’éducation ?

2008 a été l’année du réveil du mouvement social. Travail le dimanche, privatisation de la poste, détérioration des hôpitaux, de l’école : nous n’avons rien laissé passer.

2009 sera l’année de l’amplification de la riposte sociale. La résistance qui a déjà arraché quelques reculades de la part du gouvernement ira encore plus loin.

Le PCF s’engage à être acteur majeur de la résistance en combattant pied à pied la politique de classe du gouvernement.

LES COMMUNISTES DU 5e ARRONDISSEMENT VOUS SOUHAITENT UNE BONNE ANNEE 2009 DE LUTTES A TOUS ET A TOUTES !

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9 juillet 2008 3 09 /07 /juillet /2008 19:41


Samedi dernier, le PCF participait comme chaque année à la Marche des Fiertés. Derrière la banderole "Fier-e-s et Révolutionnaires", aux côtés de Patrice Bessac (notre secrétaire fédéral), on reconnaît notre camarade (et trésorier), Pierre Cornevin !
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10 mai 2008 6 10 /05 /mai /2008 11:16
Une nouveauté sur le blog des communistes du 5e : les photos !

Vous pouviez déjà admirer
les lycéens du quartier, voici maintenant quelques photos de la manifestation du 1er mai.



La lutte des sans papiers était à l'honneur.


Ils bossent ici, ils vivent ici, ils restent ici !


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16 avril 2008 3 16 /04 /avril /2008 11:21



OGM, un amendement qui change tout !

Mercredi 2 avril, les députés débattaient du projet de loi relatif aux OGM, et le débat fut pour le moins agité! Au terme d’un débat houleux, l’amendement défendu par le groupe communiste et républicain a finalement été adopté par l’Assemblée. En ajoutant aux critères de respect de l’environnement et de santé publique les critères de respect « des structures agricoles, des écosystèmes locaux, et des filières de production et commerciales qualifiées ‘sans OGM’», cet amendement opère une véritable révolution. Dorénavant sont écartés de la culture des OGM des territoires entiers, tels que les régions couvertes par le label AOC, des zones de montagne ou littorales protégées et des filières de qualité. Forts de ce premier succès, les communistes sont déterminés à poursuivre la lutte pour une agriculture à visée humaine.

Pour soutenir l'amendement 262...


Des risques environnementaux et de santé publique…

Bien sûr, lorsqu’on évoque les risques des OGM, on pense tout de suite aux risques pour l’environnement et la santé publique. Et on a raison, car ils sont bien réels ! Les problèmes de dissémination interdisent toute possibilité de coexistence des cultures OGM et des cultures conventionnelles, tandis que la modification des micro-organismes du sol provoquée par l’utilisation d’OGM met fortement en doute une reconversion postérieure vers des cultures conventionnelles ou biologiques. Quant aux risques sanitaires, est-il utile de rappeler que nous ne disposons d’aucune étude robuste ?                                                                                    

…aux catastrophes économiques et sociales !

On pense moins souvent aux conséquences économiques et sociales, pourtant dramatiques ! Utiliser des cultures OGM aujourd’hui, pour un agriculteur, c’est, partout dans le monde, se rendre complètement dépendant des grandes firmes telles Monsanto dont l’unique but est de verrouiller et contrôler l’ensemble du marché des semences ! Dans l’ensemble des pays en développement, les OGM appauvrissent encore plus les petits paysans.

Dans de telles conditions de commercialisation, qui osera dire que les OGM sont un moyen de réduire la pauvreté et de lutter contre la faim dans le monde ? La principale cause des famines n’est pas le manque de nourriture mais bien les dysfonctionnements profonds dans son allocation. Lutter contre la faim dans le monde, c’est réduire les inégalités sociales et se battre contre la dépendance des petits agriculteurs. Les crises alimentaires sont autant d’appels à des dépassements et avancées de civilisation qui remettent en cause à chaque fois les modes de production, d’échange et de consommation capitalistes, les rapports sociaux de domination, d’exploitation et d’aliénation de l’homme et de la nature qu’il génère.

C’est pourquoi le PCF entend lutter aujourd’hui dans ce sens, pour une agriculture sûre et de qualité, productive et non productiviste, rémunératrice du travail, respectueuse des hommes et de l’environnement.

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26 février 2008 2 26 /02 /février /2008 21:57
arton1220-84739.jpgLes producteurs ne sont pas responsables de la course déraisonnée à la productivité qui a poussé à l’artificialisation des systèmes de culture et à la standardisation des produits agricoles. Ce productivisme est le résultat de la baisse des prix imposée par la compétition internationale et la pression des centrales d’achat.  5 centrales d’achat régentent le marché et imposent à des millions de producteurs des prix non rémunérateurs.

Les circuits courts permettent de contourner cette logique capitaliste. L’accès à des produits de qualité n’est plus un privilège et les producteurs peuvent vivre dignement de leur travail.

Le PCF propose à Paris de développer les initiatives initiées par quelques associations pour qu’elles puissent s’affirmer comme des alternatives crédibles aux logiques de marché en offrant de réels débouchés à une agriculture viable et de qualité.

 
VENTE DIRECTE DE FRUITS ET LEGUMES
organisée par la section du PCF du 13e arrondissement
Samedi 1er mars dès le matin sur la dalle des Olympiades
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5 février 2008 2 05 /02 /février /2008 11:57
ronis_belleville.jpg   
Paris se trouve au cœur d’une immense agglomération de plus de 10 millions d’habitants alors qu’à l’intérieur du périphérique on ne compte que 2 millions de personnes. Aussi les échanges entre les deux espaces que sont Paris et sa banlieue sont-ils particulièrement intenses : tous les matins, tandis que 900 000 personnes entrent dans Paris pour y travailler, 300 000 en sortent pour travailler en banlieue. La vie quotidienne de ces personnes déborde ainsi les frontières administratives. Mais ces liens ne doivent pas cacher les profondes fractures qui traversent notre agglomération.

La fracture centre/périphérie.

Aujourd’hui, la domination de Paris sur la banlieue est encore très forte. Les richesses se concentrent dans la ville alors que le travail productif notamment industriel en est chassé. On se rappelle aussi comment Jacques Chirac, maire de Paris, a toujours préféré construire des logements sociaux au-delà du périphérique pour réserver la ville à la bourgeoisie.

La fracture Est/Ouest.

Mais, à l’intérieur même de Paris, la coupure de classe entre l’Ouest parisien réservé essentiellement à la bourgeoisie et l’Est beaucoup plus populaire est aussi très importante. Cette coupure déborde largement les frontières de la capitale. Elle crée de très profondes inégalités entre les arrondissements de la ville mais aussi entre les collectivités locales d’un bout à l’autre de l’agglomération parisienne.

    Pour répondre aux problèmes engendrés par cet état de fait, la nécessité d’une réponse politique à l’échelle de la métropole se fait sentir très fortement. Et très vite deux logiques s’affrontent.

L’une consiste à regrouper autour de la ville de Paris des collectivités de banlieue dans une communauté d’agglomération où, à l’image des autres grandes villes françaises, Paris dominerait forcément et imposerait sa volonté. Cela éloignerait encore les décisions des citoyens. La droite, qui défend ce projet, ose en plus le nommer « Grand Paris » dont la traduction en allemand rappellera de très mauvais souvenir à ceux qui ont connu l’occupation.

A l’inverse la gauche, sous l’impulsion des communistes, propose de créer « Paris Métropole », un espace de débat et de confrontation, apte à promouvoir de grandes politiques de solidarité à l’échelle de l’agglomération.  Le but est de privilégier les projets communs et les partenariats à une structure aux pouvoirs contraignants. La conférence métropolitaine mise en œuvre par l’adjoint Pierre Mansat (PCF) offre d’ores et déjà un point de départ pour ce projet.
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4 janvier 2008 5 04 /01 /janvier /2008 21:43
undefinedL’année 2007 a été marquée par la victoire de Nicolas Sarkozy aux élections présidentielles. Victoire d’autant plus grave pour le peuple français qu’elle s’est construite sur les ruines de la gauche : le vote utile en faveur de Ségolène Royal, tout en laminant tous les autres partis de gauche, n’a pas pu masquer l’incapacité du Parti Socialiste à proposer un vrai projet de société. Le rapide ralliement de nombreux dirigeants socialistes au projet de Nicolas Sarkozy, la nomination de Dominique Strauss Kahn à la tête du FMI, ont encore aggravé la débâcle.

Depuis, les coups pleuvent. Mais la résistance s’organise : à tous ceux qui luttent, à tous ceux qui subissent la politique de la droite et l’impuissance des socialistes, les communistes du cinquième arrondissement souhaitent une bonne année 2008, une année de luttes victorieuses.

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17 novembre 2007 6 17 /11 /novembre /2007 10:35
Depuis l’élection présidentielle, les coups tombent. N. Sarkozy multiplie les réformes pour transformer le visage de la société française : précarisation, baisse du pouvoir d’achat, destruction de toutes les formes de protection sociale… Mais dans les entreprises et dans la rue, l’opposition s’organise et la colère monte.

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Régimes spéciaux… et après, à qui le tour ?

Mercredi 14, les cheminots, les électriciens et les gaziers sont descendus dans la rue pour défendre les régimes spéciaux, c’est-à-dire le droit, pour certains d’entre eux, de partir à la retraite plus tôt que le reste des fonctionnaires. Des privilégiés qui se battent pour leurs intérêts ?

Sûrement pas ! Les salaires peu élevés, la pénibilité du travail, justifient amplement le droit pour ces travailleurs de partir plus tôt à la retraite. Et surtout, ils ne constituent que la première cible d’une réforme des retraites beaucoup plus vaste, suite logique de la réforme Fillon de 2003. Après avoir aligné les régimes spéciaux sur le régime général des fonctionnaires, le gouvernement voudra aligner les retraites des fonctionnaires sur celles du privé. En jouant des divisions entre les travailleurs, il réussira ainsi à allonger la durée de cotisation et à baisser les pensions de tout le monde !

Travailler plus longtemps, pour gagner moins, alors que de nombreux travailleurs sont privés d’emploi aujourd’hui en France ? Ca n’a pas de sens ! Pour résister à cette réforme, une seule solution : être unis, dès maintenant, et défendre tous ensemble les régimes spéciaux.

Les fonctionnaires défendent leur pouvoir d’achat

Mardi 20 novembre, les fonctionnaires descendent dans la rue pour défendre l’emploi, les salaires et le pouvoir d’achat. De quoi se plaignent-ils ? Eux aussi, ce sont des privilégiés ! Et pourtant… Pourtant, défendre les fonctionnaires – les enseignants, les infirmières, les employés municipaux… – c’est défendre le service public, qui nous permet à tous de mieux vivre : d’avoir accès à l’éducation, à la santé ou à l’information. Pourtant lorsqu’on supprime des fonctionnaires, on supprime des emplois. Est-ce bien utile dans un pays gravement touché par le chômage ? Pourtant, lorsqu’on baisse le salaire des fonctionnaires, on fait pression à la baisse sur l’ensemble des salaires. Alors que les prix ne cessent d’augmenter !

Et si l’État donnait l’exemple, en créant des emplois, en cessant d’embaucher des travailleurs précaires, et en augmentant les salaires ?

L’avenir de l’université : un enjeu de société

Les étudiants et les personnels de l’Université luttent en ce moment contre une loi de réforme des universités. Une fois encore, cette lutte nous concerne tous. Nous souhaitons tous que nos enfants soient plus instruits que nous, qu’ils aient accès à la formation et à la culture, que l’éducation – même après le bac – ne soit pas réservée à ceux qui peuvent se la payer. Et pour l’emploi, pour le développement de notre société, nous avons besoin d’un enseignement supérieur de qualité. Cette ambition – un enseignement de qualité accessible à tous – nous ne pouvons la réaliser que dans le cadre d’un service public auquel l’État donne les moyens de fonctionner. Quand le service public d’enseignement supérieur est attaqué, c’est toute la société qui doit se mobiliser !

Le combat en cours n'est pas simplement celui des cheminots, des fonctionnaires et des étudiants, c'est celui de tous ceux qui veullent construirent une autre société que celle que nous propose le gouvernement.

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10 novembre 2007 6 10 /11 /novembre /2007 11:22

Ar5m.jpg… y a Malabar.

C’est le slogan de mon enfance et pourtant aujourd’hui force est de constater que malgré le ras -le -bol général, le blond bodybuildé dans son T-shirt moulant jaune est absent. Alors comptons sur nous.


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