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DEMANDEZ L'HUMA !
Vous pouvez rencontrer les communistes du 5e arrondissement tous les week-end sur vos marchés. Ils y vendent l'Humanité Dimanche, y distribuent le 5e.communiste (leur journal) et  bavardent volontiers avec les passants.

Nous sommes tous les samedis à partir de 11h aux marchés de Port-Royal et tous les dimanches à la même heure au marché de la place Monge.

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Parti communiste français

42, rue Mouffetard

75005 Paris

Tél. : 01 43 37 44 19

section.pcf5@gmail.com

19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 05:07
"Un projet de société inacceptable. L’Université et la recherche françaises en colère". Manifestation jeudi 21 mars. Paris, départ à 14 heures, Panthéon
MANIFESTATION JEUDI 21 MARS 
Départ à 14h, place du Panthéon

Le 20 mars, Geneviève Fioraso présente son projet de loi en Conseil des ministres. Ce que la droite a fait, ce gouvernement va l’aggraver ! Comme au Québec, comme en Grande-Bretagne, comme au Chili, les universités françaises sont mises intentionnellement en faillite par une loi, ici la loi LRU, et le seront encore plus par la loi LRU 2 dite loi Fioraso, ce qui entraînera nécessairement à terme une élévation considérable des droits d’inscription.

 

Après la première AG de Paris 7 du 18 février à l’appel d’une large intersyndicale, l’AG réunie le 2 mars avait appelé à une mobilisation le 21 mars. L’appel qui suit est ouvert à signatures des sections syndicales, collectifs, associations, sociétés savantes...

Un préavis de grève a été déposé pour le 21 mars par SUD-Education, la FERCSUP-CGT, le SNESUP


 

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16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 00:12

Le couple Tibéri a été condamné en appel mardi 12 mars 2013, plus de 15 années après les faits et 2 élections municipales, pour inscription frauduleuse sur les listes électorales du Ve arrondissement. Jean écope de 10 mois de prison avec sursis et de 3 ans d'inéligibilité, Xavière de 9 mois avec sursis. Le système Tibéri est, une fois de plus, mis à nu par la justice. Jean ou Dominique : en 2014 les Tibéri veulent rester à la mairie du Ve pour 6 ans encore ! Inéligible … qu'à cela ne tienne ! Le clan Tibéri affiche sa volonté de garder le contrôle de la place des grands hommes. Jean souhaite placer Dominique, dit « junior », à la tête de son fief en 2014. Le couronnement du père par le fils a lieu alors que fait rage à droite la guerre des places … autour d'un projet municipal pour le moins obscur. Les communistes du Ve arrondissement feront en tous cas campagne contre la dynastie Tibéri et surtout pour empêcher une droite plus que jamais réactionnaire de revenir aux affaires à Paris.

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 04:48

Sylvestre Huet annonce sur le bog Sciences de Libération un progrès concernant les précaires de l'ESR et rappelle les propositions d'Alain Trautmann pour augmenter les emplois à l'Université et dans les organismes de recherche :

 

http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/03/pr%C3%A9caires-des-cdi-et-des-d%C3%A9bats.html

 

EXTRAIT : "Le gouvernement vient de publier une décision, signée de trois ministres (Pierre Moscovici, Marylise Lebranchu et Jérôme Cahuzac) donnant instruction aux directions des organismes de recherche et des universités de transformer les CDD ayant duré plus de six ans en CDI même si le précaire a eu plusieurs employeurs, dès lors qu'il s'agissait en réalité d'un même poste de travail, en application de la loi Sauvadet."

Propositions de Trautmann :

«La ministre de la recherche et le gouvernement doivent choisir. Ils ne peuvent plus dire qu’ils veulent absolument lutter contre la précarité et refuser la principale mesure permettant d’agir sur ce point : ce plan pluriannuel pour l’emploi. Qu’on ne nous objecte pas qu’il n’y a pas, en 2013, de moyens financiers pour cela. Voici plusieurs exemples de ressources qu’il serait possible de réaffecter sans tarder à l’emploi scientifique.

1) La prime d’excellence scientifique (PES), mise en place en avril 2009, carotte sensée faire galoper plus vite les meilleurs chercheurs. D’excellents chercheurs l’ont refusée, par principe, mais ils demeurent beaucoup trop rares. Pour le seul CNRS, sa suppression et sa réaffectation permettraient de recruter chaque année une centaine de scientifiques supplémentaires.

2) L’AERES, agence d’évaluation largement redondante avec d’autres instances, et fort coûteuse, n’a été supprimée que pour être aussitôt remplacée par une nouvelle agence ayant des attributions très proches. Aucune indication n’a été donnée sur les économies attendues de ce changement, et il est à craindre qu’elles ne soient très faibles.

3) Les Investissements d’Avenir constituent une dépense importante (de l’ordre de 1 milliard par an), mais décidée de façon extrêmement opaque, parfois absurde (avec de nombreux déménagements d’Instituts), bien souvent contre l’avis des personnels concernés. La réaffectation des moyens correspondants serait très réaliste, et raisonnable. Encore faudrait-il en avoir le courage politique.

4) Dernier exemple : le très onéreux Crédit Impôt Recherche (CIR, plus de 5 milliards par an). Si son utilité est réelle pour certaines PME, et pour quelques entreprises plus importantes ayant une forte activité de recherche, une partie importante du CIR correspond à un gaspillage évident. Ainsi en est-il du CIR versé à des banques pour la recherche de nouveaux produits financiers. Ou des 130 millions d’euros versé à Sanofi en 2011, alors même que cette entreprise réduisait, et continue à réduire son effort de recherche. Cette simple somme (versée annuellement), aurait permis de recruter 2000 scientifiques dans la recherche publique, avec un rendement, une efficacité autrement garanties !»

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 05:19

Si l’hôpital public va si mal, à qui la faute ?

La tarification à l'activité (T2A) d'abord, en 2007, et la loi Bachelot (Hôpital, patients, santé et territoire), ensuite, en 2009 ont fait très mal à notre hôpital public.

Avec la T2A, les hôpitaux qui accueillaient les « malades trop malades », ceux qui acceptaient de faire les actes les « moins rentables » étaient pénalisés. De nombreux établissements publics sont passés dans le rouge. La concurrence déloyale des cliniques privées sera bientôt encore plus forte avec le crédit impôt compétitivité emploi (CICE). Dans ce contexte, la ministre a annoncé une nouvelle baisse des tarifs pour le secteur public : la Fédération Hospitalière Française (FHF) a prévenu : plusieurs dizaines de milliers d'emplois seront supprimés dans les hôpitaux.

hosto.jpgLa  loi Bachelot a imposé la gouvernance des Agences Régionales de Santé au service des politiques d'austérité et de la course à la rentabilité financière. Avec la domination des critères de gestion du privé c'est une privatisation rampante de la santé qui s'impose.  L'hôpital public doit devenir une « entreprise productrice de soin ». Les travailleurs des hôpitaux se sont farouchement opposés à ces dispositions de l'ère Sarkozy. Les concentrations – restructurations se sont multipliées depuis, sans considération pour les besoins réels des populations avec comme seul objectif de  limiter les dépenses publiques. C'est au nom de cette logique que les urgences de l'Hôtel- Dieu sont aujourd'hui menacées de fermeture. Les conséquences délétères de cette politique se ressentent au quotidien, et éclatent sporadiquement à la une des journaux, comme à la maternité de Port Royal le mois dernier.

Dans ce contexte, que propose aujourd'hui le rapport Couty, remis à la ministre le 4 mars 201 ?


Rapport Couty : des propositions dangereuses, inefficaces, qui ne permettront pas de sortir de la crise de l’hôpital public

Le rapport ne préconise que des amendements à la marge de la tarification à l'activité (en introduisant une dose forfaitaire) et des modifications cosmétiques de la gouvernance des hôpitaux.

Les simples aménagements des dispositifs existants proposés dans ce rapport ne sont pas à la hauteur des enjeux pour l’hôpital public ! La Ministre de la santé devrait prendre réellement en compte la gravité de la situation sur le terrain afin de donner enfin à l’hôpital public les moyens, tant financiers qu’organisationnels, pour répondre à ses missions. Cela exigerait  l’ouverture immédiate de négociations pour l’ensemble des professions de la santé et de l’action sociale. Cela  impliquerait  un financement à la hauteur des besoins ; l’hôpital public restant le seul à pouvoir garantir l’accès à la santé pour tous, à une époque où la population est particulièrement touchée par la crise.

 

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9 mars 2013 6 09 /03 /mars /2013 14:22

A l'annonce du décès d'Hugo Chavez ce mardi, tous les présidents latino-américains ont souligné son œuvre immense pour le continent, des centaines de milliers de Vénézuéliens ont exprimé dans les rues du pays leur tristesse. Pourtant, les médias français aiment à présenter Chavez comme un « dictateur », un « démagogue » ou un personnage fantasque : rien n'est plus caricatural.


Un président qui obéit à la volonté populaire : à quand en France ?

Chavez a organisé onze élections en quinze ans, quatre fois réélu, il a même accepté un référendum de l'opposition en 2004 ... visant à le destituer. Une opposition qui n'a pas hésité à monter un coup d’État en 2002 mis en échec par le peuple vénézuélien descendu par milliers dans les rues. Drôle de leçons de démocratie quand on sait ce que nos dirigeants font de la volonté populaire, qu'on se souvienne des millions de manifestants contre la réforme des retraites en 2010, ou du « Non » à la Constitution européenne en 2005. Où sont les vrais démocrates ?  

La « Révolution bolivarienne » : 15 ans de politiques au service du peuple

Les médias ne peuvent totalement l'occulter, Chavez reste le premier président du pays à avoir redistribué à l'immense majorité les revenus du pétrole, autrefois captés par une infime minorité. L'argent du pétrole, mais aussi les nationalisations des secteurs-clés ont permis de financer l'éducation et la santé pour tous. Quand Chavez arrive au pouvoir en 1998, le Vénézuéla est un des pays les plus inégalitaires d'Amérique du sud, c'est aujourd'hui le plus égalitaire.

La lutte pour une « Autre Amérique » face à l'impérialisme américain

Le président vénézuélien a défendu une autre union du continent américain, une autre Amérique. L'ALBA (Alliance bolivarienne pour les Amériques) créée par Chavez en 2005 était un cadre pour des échanges mutuellement avantageux entre nations du continent américain, dans le respect de la souveraineté des nations. Certaines de ses alliances avec des dictateurs en Iran ou en Libye étaient des erreurs et affaiblissaient son combat. Il n’en reste pas moins que l’œuvre de Chavez a transformé radicalement le pays et le continent, permis à des millions de Vénézuéliens de sortir de la misère, redonner un nom – le « socialisme du 21ème siècle » – à l'alternative au capitalisme.

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6 mars 2013 3 06 /03 /mars /2013 16:41

Nous avons appris aujourd'hui même le décès de notre camarade Jeannette Schwab, survenu à l'âge de 93 ans.

Vous pourrez lui rendre un dernier hommage ainsi que venir réconforter sa fille, Agnès, jeudi 7 mars à partir de 18h au 137 boulevard Saint Michel (code 3706).
Elle sera ensuite inhumée en Corrèze samedi.

 

Née en 1920, issue d'une famille de cheminots communistes, encouragée par son père elle entrera à l'école normale d'instituteurs puis  reprendra  des études de droits à la faculté du Panthéon. Adhérente depuis 1947, elle devient, dixit un certain Le Pen, « l'égérie du parti communiste ». Elle commence à vendre l'Huma Dimanche à cette époque, activité militante qu'elle a menée sans relâche toute sa vie. Combien d'adhérents, de toutes les générations, ont vendu  avec Jeannette sur les marchés le week-end, combien d'« HD » a t-elle écoulé ?

Jusqu'au bout aussi elle a participé aux activités de la section forçant le respect des plus jeunes adhérents. Jeannette était une militante hors pair.

Jeannette avait rejoint la section Sorbonne de la section du Ve en 1967, aujourd'hui elle nous quitte. A son fils Laurent, à ses 5 petits enfants et à notre camarade, Agnès, nous transmettons toute notre affection.


Le comité de la section du Ve.

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 14:32

*Accord National Interprofessionel

 

Le Front de Gauche du 5ème arrondissement de Paris sera présent à la manifestation de ce Mardi ; il vous appelle à rejoindre cette mobilisation pour contrecarrer les plans du Medef et du gouvernement et empêcher la transcription dans la loi des accords minoritaires initiés par le Medef. Soyons donc nombreuses et nombreux à dire que, non :

 Le Medef ne fera pas la loi !
 

Le conseil des ministres du 6 mars examinera le projet de loi qui transcrit fidèlement l’accord dit de «sécurisation de l’emploi», initié largement par le MEDEF. Ce texte, minoritaire, signé par des organisations représentant seulement 38% des salariés, est une régression sociale inédite : temps partiel ajustable, expérimentation du CDI intermittent, mobilité forcée et modulation du salaire et du temps de travail quand il y a des difficultés dans l’entreprise. C’est le retour des accords «compétitivité emploi » de Sarkozy !
Cet accord n’est pas acceptable car totalement déséquilibré en faveur du patronat qui trouverait là le moyen de casser le code du travail et  les acquis sociaux.
C’est pourquoi nous appelons tous les parlementaires de gauche à refuser cet accord. Ils ne doivent pas retranscrire cet accord «minoritaire» en loi.
 
A l’appel de la CGT, FO, la FSU et Solidaires, les salariés se mobilisent pour refuser cette régression sociale.
 Le Front de gauche appelle à soutenir massivement cette initiative et à participer massivement à la manifestation qui aura lieu :

MARDI 05 MARS 
14h : Manifestation contre l'accord de « sécurisation de l'emploi » 
départ 14h de Châtelet en direction de l'Assemblée Nationale 
Châtelet rue de Rivoli place de la Concorde, face à l'Assemblée Nationale

Le point du Front de gauche se tiendra au Palais Royal le long du boulevard Rivoli à partir 13h30.

 

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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 14:54

Arafat Shaheen Jaradat : 204e palestinien décédé dans les prisons israéliennes.

C'est 10 jours après son arrestation, dans des conditions obscures, qu'est décédé ce palestinien de 30 ans de la région d'Hébron. L'autorité palestinienne a lancé un appel internationale pour qu'une commission d'enquête internationale fasse toute la lumière sur ce décès. L'état hébreu est responsable de l'intégrité physique des prisonniers.

Des milliers de prisonniers politiques

Il y aurait plus de 4500 palestiniens en prison en Israël. Il s'agit de prisonniers politiques. Environ 500 sont condamnés à la perpétuité. Un cinquième de la population palestinienne adulte est passée par les geôles israéliennes : le système relève de la répression de masse. Salah Hamouri, le franco-palestinien libéré le 18 décembre 2011 a témoigné en France des conditions de détentions terribles que ces prisonniers doivent subir.

Le PCF, par la voix de ses parlementaires, a exhorté le gouvernement français pour qu'il fasse pression sur l'état israélien afin qu'il respecte les conventions internationales en matière de droits de l'homme.
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2 mars 2013 6 02 /03 /mars /2013 16:12

L'Etat baisse de 29.5% sa subvention. Le 18 mars prochain un budget de crise pour le CRR 93 va être voté prévoyant un arrêt brutal d’activité et des licenciements alors qu’un nouveau bâtiment financé par les contribuables et les partenaires publics ouvre ses portes en juin.

Au delà des emplois, la structure est menacée. 4802 enfants des deux villes bénéficient aujourd'hui de partenariats éducatifs institués par le CRR 93. Qu'en sera-t-il demain?

1500 élèves inscrits verront leurs cursus détériorés, cours supprimés, concerts annulés.

Parents, élèves, étudiants, citoyens, pour la survie du CRR 93

Face à cette absurdité, ce gâchis,

Signez la pétition au lien suivant.

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24 février 2013 7 24 /02 /février /2013 16:13

La Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la recherche présente au CNESER un
projet de Loi dont l’exposé des motifs peine à cacher l’essentiel. Elle tente l’exercice difficile de
placer ce projet en rupture par rapport à la loi LRU objet de toutes les critiques, source de tous les
conflits, origine de l’affaissement des capacités de notre potentiel d’enseignement supérieur et de
recherche.


Pour convaincre, il y avait au départ un acte simple : l’abrogation de la LRU.
Pour convaincre, il aurait été nécessaire de commencer par réparer les dégâts de la période
précédente par des mesures d’urgence, notamment en termes de moyens budgétaires.
Pour convaincre, il fallait décider immédiatement de sortir la masse salariale de la gestion des
établissements et la réintégrer dans le budget de l’Etat.
Pour convaincre, la nouvelle Loi devait affronter avec audace les défis du XXI° siècle en matière
d’appropriation collective des connaissances, en matière de lutte contre les inégalités sociales, en
matière de coopération scientifique internationale, avec notamment les pays du Sud.
Pour convaincre, il aurait fallu donner à la communauté scientifique les moyens de son
indépendance intellectuelle.
Pour convaincre, il eût fallu donner les signes sans équivoque de la volonté du redressement
productif par l’appropriation publique de larges secteurs industriels et financiers : la coopération
entre la recherche publique et le secteur économique aurait pu ainsi prendre le pas sur
l’asservissement de la première aux intérêts du capital industriel et financier.

 

 

On ne trouve rien de tout cela. Au contraire, la démocratisation puissante de l’accès et la
poursuite des études supérieures est esquivée. Au contraire, c’est la continuité et l’aggravation des
canons de la stratégie de Lisbonne. Au contraire, c’est la poursuite du désengagement financier de
l’Etat et la précipitation d’une réforme territoriale qui poursuit le déchirement de la cohérence
nationale et approfondit toutes les conditions d’une mise en concurrence des potentiels de
formation et de recherche régionaux.
Mais la Ministre n’a pu esquiver la pression de la communauté scientifique pour des
transformations donnant son sens à la démocratie dans la prise de décisions. Elle s’en pare alors
que son projet renforce un étatisme de plomb.
Dans cette exigence, que la Ministre n’a pu ignorer, se trouve la brèche dans laquelle des choix
neufs, de gauche, peuvent s’engouffrer.
L’Atelier Législatif ouvert par le Front de Gauche est à la disposition de toutes celles et ceux qui
veulent dès à présent ouvrir les voies qui seules permettent à notre pays une grande ambition
scientifique. Le PCF et les parlementaires du Front de gauche s’y investiront pleinement.


Déclaration du Parti Communiste Français.

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