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DEMANDEZ L'HUMA !
Vous pouvez rencontrer les communistes du 5e arrondissement tous les week-end sur vos marchés. Ils y vendent l'Humanité Dimanche, y distribuent le 5e.communiste (leur journal) et  bavardent volontiers avec les passants.

Nous sommes tous les samedis à partir de 11h aux marchés de Port-Royal et tous les dimanches à la même heure au marché de la place Monge.

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24 novembre 2012 6 24 /11 /novembre /2012 13:06

Pour en finir avec la politique et les structures héritées de Sarkozy dans la Recherche et l'Enseignement Supérieur, titulariser tous les non-titulaires sur fonctions permanentes, abroger l'ANR-machine à précaires, arrêter Paris-Saclay et les autres IDEX et rétablir les crédits récurrents comme base de fonctionnement des labos :

 

 

Manifestation à 10h à Paris, de Jussieu au Collège de France


 

La précarité comme seul avenir ? De moins en moins d’emplois titulaires, un financement de la recherche de plus en plus précaire avec la montée en puissance des financements sur projets… Le résultat, c’est l’explosion de la précarité dans l’enseignement supérieur et la recherche. Les jeunes contractuels, agés de 29/ 30 ans en moyenne, représentent 25% du personnel des universités, 30% de celui des EPST (CNRS, INRA…). Rien qu’au CNRS, il y a environ 10 000 précaires ! 

 

La précarité ne peut pas être l’avenir de l’enseignement supérieur et de la recherche en France. L’État doit prendre ses responsabilités et développer l’emploi scientifique, pour un service public de qualité. 

 

Pour commencer, il faut en finir avec l’ANR, la LRU et les initiatives d’excellence. La masse salariale des universités doit être réintégrée dans le budget de l’État, comme le demandent de nombreux présidents d’université. La masse salariale distribuée par l’ANR doit être affectée aux organismes de recherche pour leur permettre de développer des emplois pérennes.

Un plan de recrutement pluri-annuel doit être mis en place.

 

Bien sûr, cela nécessite de rompre avec les politiques d’austérité. Mais un gouvernement de gauche ne devrait-il pas avoir le courage de défendre l’intérêt général et de porter les exigences populaires, sans céder aux pressions d’une minorité ?

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